Ce présumé espion chinois fait face à deux nouveaux chefs d’accusation.
Il serait le premier individu accusé d’espionnage économique en vertu de la Loi sur la protection de l’information du Canada.
Quatre chefs d’accusation pesaient déjà contre celui qui menait des recherches sur les matériaux de batteries chez Hydro-Québec.
Il avait d’ailleurs été inculpé en novembre pour diverses infractions liées à l’utilisation non autorisée d’informations confidentielles.
La GRC affirme maintenant qu’il aurait préparé des actes pour une entité étrangère, notamment en partageant des données avec des institutions chinoises.
Il aurait aussi soumis des brevets à leur nom.
Wang a nié les allégations, exprimant son désir de rétablir sa réputation au Canada.