Le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge accepte de commander une étude sur l’impact des violences sexuelles sur le décrochage scolaire.
La responsable solidaire en matière d’Éducation, Christine Labrie a obtenu l’engagement du ministre, à la suite d’un été teinté par les dénonciations de violences à caractère sexuel.
M. Roberge a reconnu que le fait de subir des violences sexuelles pouvait mener au décrochage.
Cependant, il affirme que le ministère ne disposait pas de données pour agir.
Selon Mme Labrie, l’école doit jouer un rôle plus important en matière de prévention et d’intervention face aux violences sexuelles.
Elle rappelle que selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), 16% des québécois ont vécu une agression sexuelle avec contact avant l’âge de 18 ans.
Auteure : Mélissa Aubert