Ce surplus s’explique de deux façons, soit par des éléments prévus comme les mesures d’atténuation budgétaire (gestion de la dette, élections 2025, rôle d’évaluation et autres) ou encore par des éléments dont la Ville n’a peu ou pas de contrôle.
Il peut s’agir des droits sur les mutations immobilières, revenus d’intérêts, taxation supplémentaire en cours d’année et variation des opérations et activités.
La mairesse de la Ville, Nadine Viau, donne l’exemple notamment des taux d’intérêt élevés en 2023 ainsi que des travaux dont les évaluations sont plus élevées que les valeurs prévues aux permis et projets commerciaux non admissibles au programme de crédit de taxes.
Certaines transactions majeures ont aussi bénéficié à la Ville l’an dernier.
En plus des actifs et des passifs, les surplus ou déficits de chacune des régies intermunicipales sont ajoutés aux résultats de la Ville.
À rappeler que les municipalités du Québec n’ont pas le droit d’effectuer un déficit contrairement aux paliers de gouvernement provincial et fédéral.