Plus de 40 agents de protection de la faune provenant de plusieurs régions du Québec ont participé à ce démantèlement.
Ils visaient une trentaine d’individus suspectés de vente et d’achat d’espèces de poissons à intérêt sportif, essentiellement des perchaudes.
Le Ministère reproche aussi à ces individus d’avoir pêché en temps prohibé et d’avoir dépassé les limites de surplus de prises.
Ces activités sont illégales puisque les suspects les commettaient « au détriment de la ressource faunique sur la rivière Richelieu. »
ils devront passer devant un tribunal et potentiellement payer des amendes pouvant atteindre plus de 100 000$.