Des conditions « encore profondément marquées par la violence sous de nombreuses formes
Plusieurs femmes affirment « qu’elles ne se sentent pas en sécurité dans les endroits publics ».
Un inconfort entendu quotidiennement par le Centre des femmes de Longueuil.
Plusieurs d’entre elles ont aussi témoigné vivre de l’anxiété occasionnée par la recherche de logement décent.
Certaines ont même dû dormir dans leur voiture afin d’éviter de se retrouver à la rue.
La chargée de projet au Centre des femmes de Longueuil, Laurence Raynault-Rioux, explique qu’il y a une féminisation de la pauvreté et de l’itinérance depuis quelques temps.
La lettre ouverte a été écrite dans le cadre de la 14e édition des 12 jours d’actions contre la violence faite aux femmes.