Trudel estime que cette décision reflète un bilan marqué par des échecs majeurs du premier ministre et du PLC.
Il dénonce également un gouvernement centralisateur et ajoutant que cette attitude a nui au Québec.
Ce serait le cas, notamment, par l’achat d’un pipeline, son opposition à la laïcité et sa gestion migratoire qu’il juge irresponsable.
Trudel presse le futur chef libéral de déclencher rapidement des élections.
Il réitère que le Bloc est prêt à défendre les intérêts québécois face à un éventuel scrutin.