L’entreprise, avec la collaboration de Santé Canada, cherche donc à récupérer l’intégralité d’un lot de boîtes de 500 comprimés d’avorstatine, avec une concentration de 40 mg.
L’avorstatine est un médicament d’ordonnance, utilisé notamment pour traiter l’hypercholestérolémie et prévenir les maladies cardiovasculaires.
Des traces de latex dans ces comprimés peuvent provoquer des réactions allergiques chez certains individus.
Le Groupe JAMP Pharma a mené une enquête approfondie à son site de fabrication situé sur la rue Nobel.
La contamination serait survenue suite à un incident isolé, « impliquant un morceau de gant en latex dans un produit fini ».
JAMP organise actuellement les retours du lot concerné et a déjà informé ses grossistes et distributeurs.
Les consommateurs doivent communiquer avec leur médecin ou fournisseur de soins de santé s’ils ont éprouvé des problèmes liés à l’avorstatine contaminée.
Ils peuvent aussi signaler toutes réactions indésirables en ligne, sur le site web de Santé Canada.