Ottawa et Québec croient en effet que ce réseau social populaire contient un niveau de risque inacceptable pour la vie privée et la sécurité.
La décision de la Ville fait également suite à une recommandation de l’Union des municipalités du Québec.
Celle-ci suggère l’interdiction de TikTok de manière préventive, au cas où un pays étranger l’exploiterait pour espionner les employés d’un gouvernement.
L’organisation ajoute cependant qu’aucune preuve ne démontre, pour l’instant, que ceci soit déjà arrivé.
D’autres villes envisagent aussi d’interdire TikTok sur les appareils des membres de leur administration.
Du côté de Brossard, le directeur des communications, Alain Gauthier, explique que la direction des technologies de l’information est en train d’évaluer la question.
Bannir TikTok risque toutefois d’être plus compliqué à la Ville de Longueuil.
La mairesse, Catherine Fournier est en effet une grande utilisatrice de l’application.
Malgré cela, l’attachée de presse au cabinet de la mairesse, Camille Desrosiers-Laferrière, confirme que « la Ville analyse le tout présentement ».
L’administration municipale devrait se prononcer sous peu.