Ces surplus proviennent notamment des transactions immobilières qui s’avèrent plus importantes que prévues.
Ainsi la Ville a du même coup rempli ses coffres grâce aux droits de mutation (taxes de bienvenue).
Un resserrement des dépenses au sein des directions de la Ville a généré des économies de 7,7 M$.
La vente de certains terrains a aussi généré des revenus de 17,4 M$.
Le conseiller Jonathan Tabarah tient à préciser que ces sommes seront réinvesties dans les infrastructures locales.
D’autre part, la dette de la Ville se chiffre à 446,8 M$ comparativement à 434,6 M$ en 2020.