Ce surplus est de près de 1,6 M$, tel que compilé au 31 décembre dernier et rendu public cette semaine.
Ce supplément est en grande partie attribuable au marché immobilier, nous rapporte le document financier.
D’ailleurs, les droits de mutation à eux seuls ont permis à Sainte-Catherine d’accumuler un peu moins de 700 000 $ de plus que le budget initialement prévu.
La hausse des taux d’intérêt sur les revenus de placement a aussi contribué au surplus à une hauteur de 411 000 $.
Un léger recul a aussi été constaté avec les compensations tenant lieu de taxes pour des bâtiments gouvernementaux.
Ce recul est de 86 000 $ et les transferts et revenus provenant de la tarification et des services rendus a aussi perdu 54 000 $.
La trésorière Anne-Sophie Primeau explique que des dépenses ont été plus élevées que prévu et des économies ont été faites d’autres parts.
La Ville a économisé environ 150 000 $ grâce à son programme préventif de gainage d’aqueduc et ainsi réduit ses fuites dans son réseau de distribution d’eau potable.
Sa performance pour les collectes de recyclage a permis de générer une augmentation des ristournes et des redevances de 142 361$ pour le volet des matières résiduelles.
Enfin, Sainte-Catherine a injecté un peu moins de 7 M$ en projets d’immobilisations, avec des subventions de 2,6 M$.
C’est notamment pour refaire la rue D’Auteuil, paver le chemin vers le RécréoParc ou des travaux de chaussés.
