Ses élus veulent justement que soient diversifiées les sources de revenus du transport collectif pour faire diminuer l’impact de la TIV et assurer le financement à long terme.
Le conseil municipal a d’ailleurs profité de la séance publique de février pour clarifier les origines et l’évolution de cette taxe controversée.
Il a aussi présenté les efforts réalisés par la Ville pour s’opposer à son imposition faite par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le but de financer le déficit du transport collectif.
Sainte-Catherine dénonce également le désengagement financier du gouvernement du Québec alors que la CMM a jugé nécessaire d’adopter cette taxe pour contrer les défis budgétaires de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).
La Ville, en collaboration étroite avec d’autres municipalités de la Couronne-Sud, continue de dénoncer cette taxe, arguant qu’elle représente un fardeau injuste pour ses résidents.
Sainte-Catherine indique aussi ne bénéficier d’aucune compensation financière de cette taxe.