Elle soupçonne la Ville de lentement vouloir mettre aux oubliettes ce projet qui tient à coeur aux résidents.
Le projet serait maintenant estimé à 29 M$ et la moitié de la facture doit être assumée par la Ville.
Elle estime pourtant qu’une ville comme Longueuil ne devrait pas donner les choix aux citoyens de 265 résidences de payer une taxe sectorielle pour sa construction.
Une proposition d’une taxe sectorielle sur 20 ans aurait été faite aux résidents en bordure de la Route.
Mme Boisclair croit de plus qu’il y va de la santé et de la qualité de vie des riverains de la zone aéroportuaire avec le développement qui s’y fait.
De plus, ajoute-t-elle, le seuil de tolérance du bruit acceptable est dépassé depuis 2009, d’où l’importance de construire un écran antibruit.
Nathalie Boisclair rappelle qu’une bonne partie du réseau routier et des infrastructures autour de l’aéroport a été refaite ces dernières années.
Ce sont tous les contribuables qui ont payé pour cela.
Elle pense qu’une stratégie doit être mise en place, pour éviter d’envoyer une facture à quelques propriétaires dans un projet de mur antibrut.