Initialement sans échéance, cette décision fait suite aux pressions de l’opposition libérale.
La députée Marwah Rizqy critique l’absence de clause de retrait, surtout alors que des entreprises québécoises, comme les Forges de Sorel, peinent à obtenir l’énergie nécessaire pour décarboner leurs procédés.
Northvolt affirme que le projet reste une priorité au Québec, et ce, malgré certaines difficultés financières.
Pour sa part, le premier ministre François Legault maintient son soutien à l’industrie des batteries, la considérant essentielle pour l’avenir des véhicules électriques.
La multinationale doit présenter un nouvel échéancier cet automne.
Christine Fréchette, nouvelle ministre de l’Énergie, a laissé entendre qu’une réflexion était en cours sur la durée de cet octroi, mais sans se prononcer davantage.