Selon ce que rapporte le Devoir, de nombreux cervidés auraient profité du gel du fleuve Saint-Laurent cet hiver.
Ils ont traversé dans le but de trouver de la nourriture.
Plusieurs bêtes se sont ainsi retrouvées dans le quartier résidentiel entourant le parc De La Broquerie.
Elles y sont maintenant coincées à cause de la fonte des glaces du fleuve.
Cette une situation a mené à des problèmes pour les résidents, dont des collisions avec des voitures.
I en va aussi de haies dévorées ou de l’alimentation illégale de la part de curieux.
La Ville de Boucherville affirme que les cerfs devraient retourner par eux-mêmes dans le parc national ce printemps, à la nage.
Elle pense qu’il y aurait suffisamment d’espaces verts sur son territoire pour accueillir ceux qui décideraient de rester.
De son côté, la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) déclare qu’elle est responsable seulement de ce qui se passe dans les parcs sous sa gouverne.
Elle ajoute qu’elle « n’est pas propriétaire des cerfs présents sur son territoire et [que] leur déplacement n’est pas contrôlé ».