En effet, M. Nantel revient sur une position de Bernard Drainville qui refuserait de dire ouvertement qu’il est souverainiste.
Pourtant, ajoute le candidat péquiste, il a participé à la course à la chefferie du Parti Québécois amorcée au départ de Pauline Marois.
La période de mise en candidature a commencé le 14 octobre 2014.
Toutefois, Bernard Drainville, qui avait déposé sa candidature pour devenir chef, se retire en avril 2015.
Il a décidé d’appuyer Pierre-Karl Péladeau.
M. Nantel effleure le mot « trahison » alors que l’ex-député de Marie-Victorin fait maintenant le saut avec la Coalition Avenir Québec.
Il avouerait avoir toujours été nationaliste, c’est pourquoi il devrait jaser avec les militants de son ancien comté, croit Pierre Nantel.
Ces militants, ajoute-t-il, l’ont encouragé et soutenu avec leurs économies dans sa course à la chefferie du PQ en 2015.