Selon lui, le nouveau terminal accueillera des vols déjà existant au Québec, qui sont présentement à l’aéroport Montréal-Trudeau.
Ils seront simplement déplacés à Saint-Hubert.
Il ajoute que l’aéroport régional fait le choix d’accueillir uniquement des avions de code C.
Ceux-ci mesurent entre 24 et 36 mètres d’envergure.
Pour Simon-Pierre Diamond, « ce sont des appareils plus petits qui consomment moins d’essences ».
L’aéroport est également en processus de certification à l’Airport Carbon Accreditation (ACA), le programme mondial de gestion du carbone pour les aéroports.
L’empreinte carbone de l’aéroport Saint-Hubert sera publiée au début de l’hiver.
Rappelons que le nouveau terminal permettra l’accueil de 4 millions de passagers d’ici l’été 2025.