La mairesse, Catherine Fournier, tenait à le souligner en séance publique mardi.
Une citoyenne, Lucie Gélinas, a tout de même avancé que ces bêtes sont « domestiquées » et que leur traitement devrait être différent, par rapport à des animaux en liberté.
D’après le conseiller Jonathan Tabarah, c’est un consensus scientifique qui fait figure d’autorité.
Des décisions pour des parcs ailleurs dans le monde sont prises sur l’opinion des scientifiques, dit-il.
Il cite en exemple le parc national de Yellowstone aux États-Unis.
M. Tabarah a ajouté qu’il y aura toujours des gens en désaccord avec la décision de l’administration Fournier.
Notons, par ailleurs, que c’est la Table de concertation qui a décidé du sort d’une soixantaine de cerfs.
Cette alternative sans équivoque a provoqué une onde de choc chez les citoyens et les environnementalistes.