Les élus ont en effet récemment autorisé l’acquisition partielle de deux terrains dans les zones dites AF18 et AF19.
Ils comptent ainsi conserver des boisés situés « dans la cour arrière » des bâtiments qui s’y trouvent.
Cette démarche implique des dépenses totales de 8 396 0111 $, ainsi que des emprunts de 2 923 000 $, pour payer des honoraires professionnels.
Certains résidents pensent que cette opération est trop coûteuse et que la Ville a déjà beaucoup dépensé pour protéger ses espaces verts.
Une de ces opposantes, Mme Blouin, ajoute que des règlements municipaux protègent déjà les boisés en question.
Elle croit que Mont-Saint-Hilaire doit revoir son ambition environnementale.
Le conseiller du district 1, David Morin, ne comprend pas cette opposition citoyenne et soutient que les règlements de conservation actuels ne sont pas permanents.