Le jeune homme de 22 ans atteint d’autisme sévère avait pourtant l’habitude de jouer dans l’eau sans surveillance, lui qui « savait très bien nager et mettre sa tête sous l’eau », témoigne le parent au Journal de Montréal.
Le sexagénaire raconte qu’il laissait un pied d’eau dans la piscine hors terre pour que ses fils puissent l’utiliser sans crainte.
D’après la figure paternelle, Mohammad-Mahdi Sharifi « a fait une crise, puis l’eau l’a empêché de respirer ».
L’homme de 60 ans confie que son fils faisait une crise « aux deux ou trois semaines ».
La mère du défunt, Katayoon Dalir, était au chevet de ses parents malades en Iran au moment du drame.
L’enseignante en sciences humaines, qui soutient avoir pris le premier vol lorsqu’elle a appris la terrible nouvelle, rappelle l’importance de ne jamais laisser dans l’eau sans surveillance une personne qui perd conscience fréquemment.