Selon les informations rapportées par Radio-Canada, la centrale syndicale estime que les négociations d’hier n’ont pas fait avancer le dossier de façon significative.
Selon la représentante des CPE de la Fédération de la santé et des services sociaux, Stéphanie Vachon, le gouvernement laisse traîner la négociation et refuse d’en faire plus pour bonifier les conditions des travailleuses.
Le syndicat réclame entre autres des augmentations salariales et des primes pour celles en région éloignées, afin de permettre une meilleure rétention du personnel.
Le gouvernement souhaite de son côté plus de souplesse dans l’organisation du travail.
Pour l’instant, les travailleuses des CPE ont donné un moyen de pression de 5 jours de grève individuel à leur syndicat.
Il ne serait pas impossible que d’autres journées soient ajoutées si les négociations n’aboutissent pas à une entente.