La campagne invite la population à interpeller massivement la ministre de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, et le Premier ministre du Québec, François Legault.
Le FRAPRU considère « totalement inacceptable l’inadéquation de la réaction gouvernementale ».
La porte-parole du FRAPRU, Véronique Laflamme, a même affirmé que « la lenteur du gouvernement à mettre en place des mesures concrètes pour réagir à la crise du logement contribue à la précarisation d’un nombre croissant de locataires, mais aussi à la hausse de l’itinérance ».
Le FRAPRU a ainsi voulu représenter « à quel point les locataires se retrouvent face à des portes fermées en ce moment » dans sa nouvelle campagne publicitaire.
La porte-parole implore le gouvernement Legault de faire « des choix fiscaux et budgétaires qui s’imposent, afin de contrer l’appauvrissement et l’insécurité grandissante des locataires du Québec ».
Madame Laflamme presse finalement l’administration Legault de faire du logement social une priorité lors de son prochain budget.