Ce processus visaient à assurer que le travail respecte la législation et la réglementation québécoises, nous rappelle le directeur des Communications et Affaires publiques, Laurent Therrien.
En fait, la société a exploré différentes options afin de trouver des solutions respectueuses de l’environnement.
Initialement, Northvolt prévoyait d’utiliser 65 000m3 de sols propres, mais anticipait leur contamination par le sol du site.
Ainsi, pour éviter des transferts inutiles et minimiser l’impact sur les riverains, Northvolt a choisi le remblaiement avec du gravier, une solution acceptée par le ministère.
Ces sols propres auraient été contaminés au contact des sols sur le site et auraient ensuite été excavés pour procéder à la construction éventuelle des bâtiments, donc retirés du site et à nouveau transportés par camion.
Les besoins en matière granulaire ont été revus à 30 000m3 après ajustement des estimations de profondeur des milieux humides.
Ces derniers ne seraient profonds d’à peine une douzaine de pouces et la compagnie s’engage à en toucher le moins possible et à en reproduire, à terme.