Le responsable du parti en matière d’énergie, Haroun Bouazzi, croit que cette démarche permettrait de clarifier le projet d’usine à McMasterville et Saint-Basile-Le-Grand.
Ce serait selon lui « un premier pas pour contrer le manque de transparence entourant l’arrivée de cette entreprise » en Montérégie.
M. Bouazzi rappelle d’ailleurs que les seules rencontres entre des ministres et les dirigeants de l’entreprise suédoise se sont tenues derrière des portes closes.
Il maintient que la population « a le droit à la transparence ».
Ce projet implique en effet le paiement de « milliards de dollars d’argent public » à une multinationale étrangère.
L’arrivée de Northvolt sur le sol québécois défraie les manchettes depuis maintenant plus de deux mois.
Dernièrement, des séances d’information sur le projet ont été reportées à une date incertaine.
Un PDG de l’entreprise s’est aussi montré surpris devant les réactions défavorables à son implantation au Québec.
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