Radio-Canada rapporte que le Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE) a déposé une demande devant la Cour supérieure.
C’est pour contester l’autorisation accordée par le ministre de l’Environnement, Benoit Charette.
Cette démarche intervient après l’échec d’une précédente tentative visant à stopper les travaux.
Les avocates représentant des résidentes locales soulignent les lacunes dans l’analyse du ministère de l’Environnement.
Elles estiment que la décision d’approuver le projet sans connaître les détails du plan de compensation de Northvolt est déraisonnable.
Selon elles, cette approche va à l’encontre de la Loi sur la qualité de l’environnement.
Elles insistent sur le fait que l’absence de détails sur le plan de compensation empêche une évaluation adéquate de l’impact environnemental du projet.
Northvolt a jusqu’à 36 mois pour présenter son plan de création, de restauration ou de conservation d’un milieu naturel.
Toutefois, les détails restent flous, ce qui alimente les contestations juridiques.