Elle se trouve donc à maintenir la décision prise antérieurement par son prédécesseur à ce poste, François Paradis.
Selon Mme Roy, l’interdiction repose sur le fait que le chef du PQ, Paul St-Pierre-Plamondon et ses deux députés ont refusé de prêter serment au roi Charles III.
La nouvelle présidente a soutenu que de prêter serment au roi, que l’on soit d’accord ou pas avec le principe, est une question légitime.
Toutefois, ajoute-t-elle, ce n’est pas à la présidente de modifier les règles comme celle-là.
Mme Roy, comme le premier ministre Legault, voudrait éviter des contestations judiciaires en maintenant cette décision rendue par la présidence.
De son côté, le chef du PQ a remis à la sergente d’armes sa proclamation d’élection du DGEQ et sa médaille.
Ceci démontre son serment au peuple québécois et sa constitution, indique-t-il.
Il dit laisser la présidente le considérer et exercer son pouvoir discrétionnaire et qu’il est temps de changer les choses.