La majorité des demandes concernaient un meurtre.
Les bénéficiaires étaient pour la plupart des membres de la famille immédiate de la victime, soit des parents, de la fratrie ou des enfants.
Le fondateur de l’organisme OPTION, Clément Guèvremont, confie qu’il « y a des victimes directes et des victimes indirectes » à la violence.
Il ajoute qu’elle peut prendre plusieurs formes, soit physique, sexuelle, psychologique ou financière.
De plus cette problématique peut toucher n’importe qui, n’importe quand.
M. Guèvremont ajoute qu’avant, « il y avait une règle non écrite qui disait que ce qui se passe dans le privé doit demeurer dans le privé ».
C’est, selon son analyse, un frein aux dénonciations de la violence et un tabou qui est encore d’actualité.
Rappelons que novembre est le mois de la sensibilisation à la violence familiale.
Cette notion inclut également la violence conjugale.