En effet la Montérégie était récemment représentée dans la campagne « Y a des limites » sur les réseaux sociaux.
Ainsi le syndicat des infirmières a publié des chiffres jugés « alarmants ».
Dans le secteur Montérégie-Est les établissements comptent 1400 quarts de travail en TSO depuis janvier.
Plus de la moitié des postes sont vacants.
Selon la présidente de la FIQ locale, Brigitte Petrie, les employés sont toujours à bout de souffle et c’était déjà le cas au cœur de la pandémie, soutient-elle.
Par ailleurs la FIQ dit que le provincial offre des primes seulement là où les besoins sont jugés importants.
Mme Pétrie affirme qu’il y a des besoins dans plusieurs spécialités.
Par exemple le département de médecine de l’Hôpital Pierre-Boucher a eu recours à 81 quarts de travail en TSO. Et environ 47% des postes sont vacants.
Dans un autre hôpital de la région, c’est en hémodialyse que les besoins sont criants.