Cette décision ne fera que repousser le problème, soutient Martine Ouellet dans une lettre ouverte envoyée à un média montréalais.
Selon elle, il faut d’abord renforcer la ceinture verte.
C’est en partie la solution, croit-elle, pour mieux mailler la présence de ces bêtes et le milieu urbain.
Mme Ouellet trouve aussi inconcevable de reporter à l’automne toute solution puisque le cheptel aura grandi avec les naissances du printemps.
La politicienne ajoute qu’il faut aussi que la Ville soit davantage à l’écoute des organismes, des experts et des autres municipalités qui se prononcent sur le sujet.
Elle accuse à mots voilés Longueuil d’avoir fait preuve d’immobilisme dans ce dossier au cours des dernières années.
C’est la mauvaise planification urbaine et la gestion municipale défaillante qui serait à la base du problème, affirme Mme Ouellet dans son écrit.
En résumé, la Ville a détruit l’habitat naturel des bêtes qui ont migrées vers le parc sans les prédateurs.