Cette méthode se nomme officiellement « approche syndromique » et vise à prévenir les impacts négatifs sur le réseau de santé dus à la transmission de virus.
D’une part, elle recommande à l’ensemble de la population de recevoir une dose de rappel contre la COVID-19 ainsi qu’un vaccin contre la grippe.
En cas de contamination, les malades doivent s’isoler, puis porter le masque dans les endroits publics une fois que leur état de santé s’améliore, et ce tant que leurs symptômes persistent.
Luc Boileau souligne que ce « gros bon sens » s’applique « peu importe la maladie et les symptômes ».
Il justifie son adoption par la santé publique en soulignant que de nombreux virus respiratoires circulent présentement, en plus de la COVID et ses variants.
Le Dr Boileau précise enfin qu’il ne considère pas l’approche syndromique comme une mesure sanitaire obligatoire.
Il en va plutôt selon lui de « l’obligation morale » qu’est la protection des plus vulnérables.