Ces dernières incluent le mont Saint-Bruno.
D’ailleurs, la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville a justement adopté une résolution d’appui à la démarche lors de son conseil de ville de septembre 2024.
Ce statut vise à protéger leur biodiversité, leurs paysages et leur patrimoine et favoriser des pratiques humaines durables.
Elles sont essentielles à la biodiversité et au patrimoine culturel, mais elles subissent une pression croissante liée à l’urbanisation.
La démarche de la CMM s’inscrit donc dans l’objectif global de protéger 30 % du territoire d’ici 2030, un engagement pris lors de la COP15.
Ce projet de protection doit encourager la conservation tout en soutenant le développement durable et le bien-être des communautés locales, comme l’explique la conseillère Marjolaine Mercier.