Elle veut miser sur la préservation à long terme du parc.
En fait, cette préservation passe inévitablement par l’euthanasie d’une soixantaine de cerfs de Virginie.
La forte concentration de bêtes dans le périmètre du parc cause un tort quasi-irrécupérable à ce vaste espace vert urbain.
Mme Fournier accorde alors sa pleine confiance à la compétence et au travail des membres de la Table de concertation.
La Table a mis six mois à examiner la situation et à définir une stratégie propice à sauver le parc.
Elle était composée de citoyens de la ville, de membres d’organismes environnementaux et d’experts scientifiques.
Tous provenaient de milieux universitaires et gouvernementaux.
Donc, le triste constat qu’a constaté le groupe d’étude est que le parc Michel-Chartrand est dans un état de dégradation avancé.
Il n’arrive plus à se régénérer.
Il faut, ajoute la mairesse, adopter un mode de gouvernance collaborative et de gestion du parc.
Ceci doit être fait pour prioriser la conservation des milieux naturels.
Il faut aussi mettre en place de mesures pour assurer la régénération des milieux naturels.
Ces mesures doivent inclure de réduire le nombre de cerfs selon la capacité écologique du parc.
Enfin, il faut sensibiliser la population à la valeur écologique du par cet les menaces qui le guettent.