Le Comité logement Rive-Sud craint cependant que les modalités gouvernementales ne permettent pas d’offrir rapidement un toit aux plus vulnérables.
Son directeur, Marco Monzon, soutient que simplement construire des immeubles ne suffira pas pour régler la crise du logement.
Il faut selon lui que Québec rende ces unités abordables et inscrive ses investissements « dans un programme pérenne et spécifique au logement social ».
Notons que les élus à l’Assemblée nationale ont récemment adopté à l’unanimité une motion pour le logement social.
M. Monzon conclut que les organisations en logement attendent « impatiemment » les moyens financiers qui correspondent à leur réalité.