Cette révision passerait, selon lui, par une refonte du pacte fiscal existant entre Québec et les localités.
Ce serait, dit-il, une possibilité qu’aurait le gouvernement de redonner un certain pourcentage en taxation aux municipalités.
Cette remise deviendrait une façon de financer des projets de développement dans les villes, sans surtaxer les résidents.
Il indique que les coffres du gouvernement se remplissent allègrement grâce aux prix inflationnistes.
D’ailleurs, les Villes auraient besoin d’un milliard de dollars pour gérer des situations environnementales, dit M. Trudel.
Le professeur rappelle que la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, propose un nouveau plan pour l’aménagement, l’architecture et l’urbanisme.
Elle devrait déposer ce printemps un projet de Loi.
Rémy Trudel ajoute que les dix plus grandes villes du Québec doivent s’unir dans ce dossier et talonner leurs députés respectifs pour avoir plus d’argent.