Elle a rejeté en bloc les prétentions du Centre québécois du droit de l’environnement, lors d’une audience tenue hier du côté du palais de justice de Montréal.
Elle a dit que«si le projet tombe à l’eau, des milliers d’emplois tombent à l’eau, mais aussi des fournisseurs et des clients.
Me Béliveau a également cité la Loi sur la qualité de l’environnement qui indique que «le recours à des énergies à faible empreinte carbone» doit être privilégié afin «de répondre à l’urgence climatique».
L’avocate de Northvolt est aussi d’avis que le recours des demandeurs ne peut pas être accepté, car il ne remplit pas le critère de l’apparence de droit d’une demande d’injonction interlocutoire.
Les demandes d’injonctions provisoire et interlocutoire sont déposées par le Centre québécois du droit de l’environnement et trois citoyennes,.
Le juge Collier a indiqué qu’il compte rendre une «décision rapidement».
Le juge Collier a pris l’affaire en délibéré et les travaux de Northvolt demeurent sur pause, le temps qu’un verdict soit rendu.
De plus, une: action en justice du Conseil mohawk de Kahnawake contre Québec et Ottawa et aussi sur la table.
La démarche stipule que l’autorisation a été accordée sans respecter «le devoir de consultation» des Premières nations.