Avec 3000 membres, la FIPEQ exige de meilleures conditions de travail, notamment des salaires plus élevés pour remédier à la pénurie de personnel.
Les CPE touchés ouvrent progressivement plus tard chaque vendredi, perturbant les familles dépendantes de ces services.
La FIPEQ se plaint de ne pas s’être fait offrir 17,4 % d’augmentation sur quatre ans, soit l’augmentation qui a été accordée aux employés de l’État.
Outre le salaire, la flexibilité est en jeu.
La présidente de la FIPEQ, Anne-Marie Bellerose, appelle le gouvernement à déposer une offre bonifiée pour attirer et retenir les éducatrices.
Face à la pénurie et au manque de places, la présidente du Conseil du trésor Sonia LeBel évoque une flexibilité volontaire pour les heures de travail.