En fait, la négociation s’annonce difficile.
Ainsi, leur syndicat, la Fédération des intervenantes en petite enfance (FIPEQ), manifeste pour faire pression sur le gouvernement québécois.
Les conventions collectives sont échues depuis mars 2023 et il semblerait qu’aucun progrès n’ait été réalisé malgré les demandes déposées en septembre dernier.
Les revendications portent sur des augmentations salariales liées à l’IPC, un soutien accru pour les enfants ayant des besoins particuliers et des congés et vacances améliorés.
Les enjeux portent aussi sur une bonification des subventions pour les services de garde familiaux.
La pénurie de main-d’œuvre dans le réseau accentue l’urgence de la situation, soutient la présidente de la FIPEQ, Valérie Grenon.