C’est ce qu’ont souligné les conseillers Loïc Blancquaert et Francis Le Chatellier ce lundi, au dernier conseil de ville.
Ils ont pris pour exemple les travaux de réfection requis sur l’avenue Hickson et le boulevard de l’Union, que les élus ont décidé de repousser il y a deux ans.
Les dépenses pour ces opérations ont entretemps grimpé de plusieurs millions de dollars à cause de l’inflation.
La tendance « historique » de Saint-Lambert à retarder des travaux nécessaires laisse l’administration actuelle en bien mauvaise posture, selon M. Le Chatellier.
Cependant, le conseiller Blancquaert croit que la Ville doit tout de même payer les montants nécessaires pour améliorer la « résilience climatique » de ses routes.
Il note que des subventions gouvernementales existent et que les élus ont la responsabilité d’aller les chercher.
À noter que Saint-Lambert doit dévoiler son programme triennal d’immobilisations pour les trois prochaines années au mois d’octobre.