Québec solidaire sort de son congrès tenu à Longueuil en affirmant qu’un gouvernement solidaire veut faire payer les pollueurs et les riches pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
QS estime que s’il prend le pouvoir en 2022, il va instaurer une série de mesures fiscales progressives qui vont permettre de réduire considérablement les émissions de GES.
Selon Ruba Ghazal, responsable en matière de transition économique et écologique pour Québec solidaire, les riches doivent mettre la main à la pâte.
Manon Massé, de son côté, soutient que le fardeau de la transition de doit pas être supporté par les plus vulnérables dans la société.
Ce n’est pas juste le simple citoyen qui doit changer ses habitudes pour le bien de la planète.
Elle dit qu’il faut tarifer davantage les plus riches et redistribuer aux plus pauvres.
Puis, un gouvernement de Québec solidaire mettrait en place des « gestes de rupture » avec le Canada dès son arrivée au pouvoir.
Il percevrait taxes et impôts destinés au fédéral et agirait rapidement contre les entreprises pollueuses.
Auteur: Henri-Paul Raymond