Ils font cet appel surtout, soutiennent-ils, en raison d’un bilan mitigé en matière d’action des organismes gouvernementaux à l’égard du secteur de l’agriculture.
Ici, ils pensent aux enjeux des changements climatiques, des conflits géopolitiques et du soutien à leur secteur économique.
Comme le déclare le président des PGQ, Christian Overbeek, ce domaine a vu bien peu de réalisations concrètes ces quatre dernières années, sauf pour les sommes investies dans le Programme d’agriculture durable 2020-2030.
Il ajoute que des pourparlers ont bien eu lieu, après les conclusions de l’Étude Forest Lavoie sur la compétitivité du secteur des grains en février 2021.
Un comité formé sur la compétitivité a tenu des rencontres administratives, mais c’est à peu près tout, face aux investissements dont bénéficient leurs compétiteurs.
Les producteurs ont besoin de leur gouvernement et ils le disent aux chefs de divers partis qui rencontrent des représentants à l’UPA à Longueuil cette semaine.
