Dans son rapport, l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques remet en question le discours selon lequel l’actuelle crise s’explique par des barrières réglementaires excessives à l’échelle municipale.
L’institut brosse plutôt un portrait montrant que le développement résidentiel a eu le vent dans les voiles au Québec, mais principalement dans les secteurs des condominiums et des unifamiliales.
Ce que l’étude note plutôt, c’est que l’abordabilité résidentielle et l’accès au logement locatif, en particulier pour les ménages à faibles et modestes revenus, se sont détériorés au fil des ans.