En fait, quatre membres du conseil et la mairesse étaient rassemblés lundi soir pour aborder ce sujet, comme d’autres touchant une étude sur le climat de travail et la nomination d’une directrice générale adjointe.
Sauf que M. Le Châtelier n’a pas obtenu d’appui à sa résolution, d’où son rejet.
Le conseiller Claude Ferguson s’y opposait puisqu’il existe un cadre légal compatible avec cette volonté offert par Québec avec un projet de loi pour inclure un code de civilité des élus.
Il n’en voyait pas l’utilité propre à Saint-Lambert.
D’autres conseillers se sont joints à lui en se basant sur la loi 49 et le code de déontologie de la Ville.
De plus, les élus n’ont pas le statut d’employé.
Le conseiller Le Châtelier, pour sa part, considère les élus égaux aux employés pour les dossiers de civilité et estime que ç’aurait été favorable.
Cette réunion vise à améliorer la gouvernance municipale et à renforcer les pratiques internes.