Ils réaliseraient des travaux malgré le contexte économique, selon les résultats de leur enquête annuelle basée sur 1 000 propriétaires.
Les rénovations sont privilégiées à l’achat de nouvelles propriétés (76 %).
Toutefois, 41 % des projets sont mûrement réfléchis, mais 28 % sont motivés par des situations urgentes.
Le tiers des répondants envisagent des travaux dans l’année, mais beaucoup pourraient décider de repousser à cause de l’économie.
L’inquiétude est présente dans la moitié des cas et elle incite à revoir les échéanciers et budgets.
Ces budgets seraient aussi en augmentation avec une moyenne de 34 000 $.
Enfin, le recours à des entrepreneurs licenciés reste le choix le plus populaire auprès de pus de la moitié des propriétaires.