Il a été adopté dans une proportion de 99 % par les membres du Syndicat des chauffeurs d’autobus du Réseau de transport de Longueuil, réunis en assemblée.
Le litige porte sur la rémunération, le recours à la sous-traitance et les horaires de travail.
Le syndicat rapporte que, jusqu’à présent, 27 rencontres de négociation ont eu lieu avec l’employeur.
Il n’y a pas eu de demande de conciliation jusqu’ici, selon ce qu’a indiqué le conseiller syndical au Syndicat canadien de la fonction publique, Dominique Aubry.
La convention collective est échue depuis le 31 décembre 2024.
La négociation a cours dans un contexte financier difficile pour l’ensemble des sociétés de transport en commun.
Le mandat en est un de moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève illimitée.
Une éventuelle grève pourrait aussi se décliner en journées distinctes ou par blocs de journées, a précisé mardi le SCFP.
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