Cette modification règlementaire favorise notamment la création d’ilots de biodiversité sur les terrains résidentiels en plus d’enrichir la diversité écologique locale et la résilience des espaces verts.
La mairesse, Nadine Viau, prévient toutefois « que cette orientation ne signifie pas qu’il faut négliger l’entretien de son terrain ou laisser proliférer les plantes envahissantes ».
Une zone de propreté de 2 mètres est obligatoire entre chaque voisin.
En réduisant les interventions comme la fertilisation, la tonte et le désherbage, les ressources alimentaires pour les oiseaux et les insectes augmentent.
Cette approche, qui encadre l’entretien des espaces verts en zone urbaine, va permettre aux fleurs sauvages de s’épanouir, et ce, sans pour autant négliger l’apparence du terrain.