C’est le taux d’endettement à long terme par rapport aux revenus de la Ville qui préoccupe les deux conseillers indépendants.
Le premier estime qu’«un taux d’endettement de 150% en 2026, et qui se maintient par la suite, est très préoccupant et va limiter la capacité à livrer d’autres projets importants».
Il pense notamment à la reconstruction de la rue Montarville au centre-ville, qui risque de tarder à être réalisée.
Le second soutient que Saint-Bruno ne cesse de voir son taux d’endettement augmenter.
Il faudrait couper dans les dépenses autres que celles qui assurent la pérennité des infrastructures.
M. Mercier rappelle que près de la moitié des dépenses prévues dans le PTI sera supportée par l’ensemble actuel de résidents, commerces et industries.
Il indique que le choix du mot subventions par le maire Grisé-Farand serait vrai si et seulement si toutes les quelque 10 000 nouvelles maisons prévues dans le secteur des Promenades Saint-Bruno étaient construites d’ici à la fin 2026.
Selon lui, le portrait risque d’être pire en termes de pourcentage supporté par les citoyens, sans cela.