Il va cependant rester conseiller principal et membre du conseil d’administration pendant une période de transition.
Cette décision intervient alors que Northvolt, placée sous la protection de la loi américaine sur les faillites, amorce une restructuration pour se concentrer sur l’efficacité opérationnelle et le soutien à ses clients.
L’entreprise a précisé que ses projets nord-américains, dont celui en Montérégie, ne sont pas affectés par cette annonce du départ de M. Carlsson.
Ce dernier a déclaré que ce départ marque une « nouvelle phase » pour lui et Northvolt, qui vise à consolider sa position sur le marché des batteries.
La direction par intérim devra relever le défi de poursuivre cette croissance tout en préservant les engagements de l’entreprise.
De plus, Northvolt a proposé au gouvernement Legault de lui remettre temporairement une partie des 354 mégawatts qui lui ont été attribués pour son projet de batteries, retardé de plusieurs années.
Cette offre permettrait à Québec de récupérer 100 MW d’ici 2030.