Northvolt rappelle souhaiter implanter durablement sa méga-usine de batteries en Montérégie.
Le projet représente un investissement de 7 milliards de dollars, soutient le PDG.
Pourtant, l’entreprise est confrontée à l’obtention d’une série d’autorisations pour avancer.
Malgré les défis, comme la nécessité de protéger des espèces menacées telles que le chevalier cuivré, Northvolt explore des solutions alternatives pour minimiser son impact écologique.
Paolo Cerruti a l’intention de partager les principaux documents en lien avec le BAPE et avec les autorisations ministérielles via le site internet de l’entreprise.
En dépit des critiques, Northvolt reste déterminée à produire des batteries à empreinte carbone considérablement réduite.
Elle promet d’utiliser 50 % de matériaux recyclés et d’embaucher 3000 employés locaux.
C’est aussi une façon de contribuer significativement à l’économie québécoise, ajoute M. Cerruti.
Northvolt indique avoir signé des contrats totalisant 138 millions $ avec des fournisseurs québécois depuis l’ouverture de son siège social nord-américain à Montréal.