Il a fait cette déclaration devant 650 personnes lors d’un passage à la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain.
Il a imagé le vif contraste entre la réaction québécoise et celle de la population suédoise quand l’entreprise s’est lancée dans un projet du genre dans le pays scandinave.
Il indique qu’en Suède la population applaudissait ce projet et que c’est un accueil différent au Québec.
Paolo Cerruti n’est pas surpris de voir des environnementalistes se dresser sur son chemin.
Il affirme que « ce serait une erreur de mettre en opposition la protection de l’environnement avec le projet et la vision de Northvolt.
Une vingtaine d’entre eux étaient d’ailleurs à la porte de l’hôtel où il prononçait son allocution, mardi.
Il a vite compris que le terrain de 170 hectares à McMasterville et Saint-Basile-le-Grand est un espace vert avec lequel il doit faire preuve de la plus grande délicatesse.
Il répond que ces milieux humides sont le résultat d’efforts de décontamination rendus nécessaires après 120 ans d’exploitation d’une usine d’explosifs au passé controversé.
L’homme d’affaires s’en remet à l’expertise des autorités gouvernementales.