Ils se sont d’ailleurs exprimés ce vendredi devant l’usine Lafarge à Saint-Constant, soit une des 89 entreprises que Québec « autorise à polluer ».
Mme Bah soutient « qu’aucune concession ou passe-droit ne devrait exister pour déroger à la législation ».
Celle qui est aussi candidate dans la circonscription de Sanguinet souligne d’ailleurs qu’un grand nombre des 89 usines se situent en milieu urbain et portent atteinte à la santé des résidents.
Par conséquent, elle insiste pour que ces entreprises se conforment rapidement et que le gouvernement cesse de soutenir leur pollution.
Le PVQ revendique enfin des normes plus strictes en matière de pollution dangereuse et la création d’une police de l’environnement.
Il souhaite aussi une séparation stricte entre les responsables de la santé publique et l’industrie.