Ce serait dans le cadre des consultations sur son projet de loi 36.
Celui-ci vise à recouvrer l’argent lié à la crise des opioïdes.
L’Association des intervenants en dépendance du Québec a fait cette demande à l’Assemblée nationale.
Selon l’organisme, il s’agit d’une « mesure essentielle pour diminuer la stigmatisation et faciliter l’accès aux soins de santé et service sociaux » pour les consommateurs.
Le député de Taillon a questionné l’Association sur cette proposition.
Il ne semblait toutefois pas chaud à l’idée.
M. Carmant avait affirmé lors du dépôt du projet de loi il y a trois semaines, que son gouvernement n’était pas rendu là.